La tumeur cancéreuse libère dans le sang de l’ADN (ADNcir) qui s’avère être une source biologique d’analyse du cancer et un outil diagnostique à fort potentiel (détection de la maladie résiduelle, contrôle de l’efficacité des traitements et mis en évidence de mécanismes de résistance, surveillance de la récurrence et peut être pour le dépistage). Alain Thierry et son équipe font partie de ceux qui ont le plus contribué à démontrer à l’étude de l’ADNcir en prouvant sa validité et son utilité clinique. La prévention d’un cancer à tous les stades à travers de simples analyses de gouttes de sang semble devenir une réalité